{"id":207,"date":"2020-10-09T16:57:35","date_gmt":"2020-10-09T14:57:35","guid":{"rendered":"https:\/\/www.chu-tours.fr\/cancerologie\/?page_id=207"},"modified":"2020-10-29T09:54:05","modified_gmt":"2020-10-29T08:54:05","slug":"les-cancers-intracraniens","status":"publish","type":"page","link":"https:\/\/www.chu-tours.fr\/cancerologie\/les-cancers-intracraniens\/","title":{"rendered":"Les cancers intracr\u00e2niens"},"content":{"rendered":"\t\t
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Pr\u00e9sentation des cancers intracr\u00e2niens<\/h2>\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/section>\n\t\t\t\t
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Parmi les tumeurs intracr\u00e2niennes, les plus fr\u00e9quentes sont les m\u00e9tastases (que l’on appelle tumeurs c\u00e9r\u00e9brales “secondaires”), les m\u00e9ningiomes, les gliomes, et les ad\u00e9nomes hypophysaires. Plus de 6000 nouveaux cas de tumeurs intracr\u00e2niennes \u00ab\u00a0primitives\u00a0\u00bb de l’adulte sont diagnostiqu\u00e9s chaque ann\u00e9e en France. Elles sont moins fr\u00e9quentes que les m\u00e9tastases c\u00e9r\u00e9brales. Au CHU de Tours, environ 200 patients sont pris en charge chaque ann\u00e9e pour le traitement de ces pathologies.<\/p>

Les \u00e9quipes impliqu\u00e9es dans le traitement des tumeurs intracr\u00e2niennes sont : le service de Neurochirurgie, le service de Radioth\u00e9rapie et le service d’Oncologie M\u00e9dicale du CHU Bretonneau. Si le CHU de Tours est le centre r\u00e9f\u00e9rent en neuro-oncologie pour la R\u00e9gion Centre, nous collaborons \u00e9galement r\u00e9guli\u00e8rement avec les services d’oncologie et radioth\u00e9rapie de Blois, Bourges, Ch\u00e2teauroux et Chartres pour les patients r\u00e9sidants dans les autres d\u00e9partements de la R\u00e9gion.<\/p>

Selon le type de tumeur intracr\u00e2nienne, il vous sera propos\u00e9 soit une chirurgie d’embl\u00e9e, soit une biopsie c\u00e9r\u00e9brale. La chirurgie permet de retirer la tumeur et d’en faire une analyse biologique compl\u00e8te, indispensable pour obtenir un diagnostic pr\u00e9cis et d\u00e9buter les \u00e9ventuels traitements dits “compl\u00e9mentaires” que sont la radioth\u00e9rapie et\/ou la chimioth\u00e9rapie. La biopsie (r\u00e9alis\u00e9e la plupart du temps en conditions st\u00e9r\u00e9otaxiques sous anesth\u00e9sie locale) est un acte diagnostique qui peut \u00eatre propos\u00e9 soit lorsque la chirurgie est trop risqu\u00e9e, soit si le type de tumeur suspect\u00e9 se traite sans chirurgie.<\/p>

Sur le plan chirurgical nous disposons des derni\u00e8res avanc\u00e9es technologiques permettant la prise en charge de la majorit\u00e9 des tumeurs intracr\u00e2niennes (Neuronavigation, Echographie perop\u00e9ratoire, Microscope op\u00e9ratoire, Endoscopie, Dissecteur \u00e0 ultrasons\u2026). Si la plupart de nos patients sont op\u00e9r\u00e9s sous anesth\u00e9sie g\u00e9n\u00e9rale (endormis), pour la chirurgie des gliomes c\u00e9r\u00e9braux, nous avons mis au point une m\u00e9thode unique de chirurgie \u00e9veill\u00e9e bas\u00e9e sur l’hypnose, en collaboration avec les anesth\u00e9sistes. Cette technique permet de faire travailler les patients en temps r\u00e9el pendant la chirurgie, pour pr\u00e9server au mieux les zones du cerveau indispensable au langage, \u00e0 la vision, \u00e0 la m\u00e9moire\u2026<\/p>

Enfin, notre service est impliqu\u00e9 dans plusieurs projets de recherche clinique nationaux (Etude GBMED que nous coordonnons, BCB-Glioblastome, Etude RESECT), et locaux (\u00e9tude SETMAR, \u00e9tude ELASTOGLI). Nous faisons \u00e9galement partie du r\u00e9seau de soin national RENOCLIP (Reseau de Neuro-Oncologie CLInico-Pathologique, regroupant les anciens r\u00e9seaux POLA, RENOP et TUCERA).<\/p>

Pour certaines tumeurs intracr\u00e2niennes, le traitement peut combiner chirurgie et radioth\u00e9rapie, ou \u00eatre une radioth\u00e9rapie exclusive. Le service de radioth\u00e9rapie dispose de moyens de traitements comme le cyberknife ou la tomoth\u00e9rapie qui permettent d\u2019avoir une grande pr\u00e9cision sur les zones \u00e0 traiter en limitant ainsi le plus possible l\u2019irradiation des tissus sains.<\/p>\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/section>\n\t\t\t\t

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Chirurgie \u00e9veill\u00e9e avec la Neuronavigation.
L'IRM du patient est recal\u00e9e informatiquement \u00e0 la t\u00eate du patient, ce qui permet une \"navigation\" en temps r\u00e9el dans l'IRM pr\u00e9op\u00e9ratoire, au cours de la chirurgie, pour d\u00e9finir au mieux les limites tumorales<\/figcaption>\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\t<\/figure>\n\t\t\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/div>\n\t\t\t\t\t<\/div>\n\t\t<\/section>\n\t\t\t\t<\/div>\n\t\t","protected":false},"excerpt":{"rendered":"

Home Pr\u00e9sentation des cancers intracr\u00e2niens Parmi les tumeurs intracr\u00e2niennes, les plus fr\u00e9quentes sont les m\u00e9tastases (que l’on appelle tumeurs c\u00e9r\u00e9brales “secondaires”), les m\u00e9ningiomes, les gliomes, et les ad\u00e9nomes hypophysaires. Plus de 6000 nouveaux cas de tumeurs intracr\u00e2niennes \u00ab\u00a0primitives\u00a0\u00bb de l’adulte sont diagnostiqu\u00e9s chaque ann\u00e9e en France. Elles sont moins fr\u00e9quentes que les m\u00e9tastases c\u00e9r\u00e9brales. Au […]<\/p>\n","protected":false},"author":4,"featured_media":0,"parent":0,"menu_order":0,"comment_status":"closed","ping_status":"closed","template":"","meta":{"_seopress_robots_primary_cat":"","_seopress_titles_title":"CHRU de Tours. Pr\u00e9sentation des cancers intracr\u00e2niens.","_seopress_titles_desc":"Parmi les tumeurs intracr\u00e2niennes, les plus fr\u00e9quentes sont les m\u00e9tastases (que l'on appelle tumeurs c\u00e9r\u00e9brales "secondaires"), les m\u00e9ningiomes, les gliomes, et les ad\u00e9nomes hypophysaires. ","_seopress_robots_index":"","_exactmetrics_skip_tracking":false,"_exactmetrics_sitenote_active":false,"_exactmetrics_sitenote_note":"","_exactmetrics_sitenote_category":0,"_genesis_hide_title":false,"_genesis_hide_breadcrumbs":false,"_genesis_hide_singular_image":false,"_genesis_hide_footer_widgets":false,"_genesis_custom_body_class":"","_genesis_custom_post_class":"","_genesis_layout":"","footnotes":""},"publishpress_future_action":{"enabled":false,"date":"2025-12-22 16:23:05","action":"change-status","newStatus":"draft","terms":[],"taxonomy":""},"_links":{"self":[{"href":"https:\/\/www.chu-tours.fr\/cancerologie\/wp-json\/wp\/v2\/pages\/207"}],"collection":[{"href":"https:\/\/www.chu-tours.fr\/cancerologie\/wp-json\/wp\/v2\/pages"}],"about":[{"href":"https:\/\/www.chu-tours.fr\/cancerologie\/wp-json\/wp\/v2\/types\/page"}],"author":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.chu-tours.fr\/cancerologie\/wp-json\/wp\/v2\/users\/4"}],"replies":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.chu-tours.fr\/cancerologie\/wp-json\/wp\/v2\/comments?post=207"}],"version-history":[{"count":5,"href":"https:\/\/www.chu-tours.fr\/cancerologie\/wp-json\/wp\/v2\/pages\/207\/revisions"}],"predecessor-version":[{"id":587,"href":"https:\/\/www.chu-tours.fr\/cancerologie\/wp-json\/wp\/v2\/pages\/207\/revisions\/587"}],"wp:attachment":[{"href":"https:\/\/www.chu-tours.fr\/cancerologie\/wp-json\/wp\/v2\/media?parent=207"}],"curies":[{"name":"wp","href":"https:\/\/api.w.org\/{rel}","templated":true}]}}